Vacances brèves & reposantes, mais tout de même studieuses: outre l’écriture d’une bonne « tranche » de nouvelle, j’ai mis au point avec mon webmaster Gizmo le « look » de mon futur site perso (qui viendra remplacer mes quelques pages sur le site de la Gang) — d’où les changements de couleurs ici, histoire de coordonner.
Fini de lire Gun Before Butter de Nicolas Freeling. Je ne me souvenais pas à quel point ces polars (anglais mais néerlandophiles) étaient excellents! J’en avais lu autrefois, en trado chez 10/18, mais n’avais peut-être pas su les apprécier à l’époque. Il s’agit quasiment de « littgen », d’ailleurs, tant l’aspect policier est traité sur un mode mineur, et tant la psychologie des personnages & l’intensité de leur histoire d’amour est mise en avant. Intense, oui, et c’est bien là le paradoxe de ce roman: qu’il semble flâner avec une déconcertante nonchalance, tout en distillant une telle puissance de sentiments. J’admire.