« Elle contemplait la mer et dans sa voix vibrait la nostalgie de tout ce qu’elle n’avait pas connu: nostalgie de l’énigme tapie dans les vieux livres et les cartes marines pour lui rappeler, comme l’éclat lointain d’un phare dans la houle, qu’il y avait encore des mers où naviguer et des épaves à trouver, des poursuites toutes voiles dehors, des émeraudes et des rêves à remonter à la lumière du jour. »
Arturo Perez-Reverte, Le cimetière des bateaux sans nom.