Lu le nouvel Harry Potter, bien sûr — en trois jours. Amusante et plaisante, cette coutume récente qui consiste à avoir « son » Harry Potter tous les étés… Dommage, le prochain sera le dernier. Bon, pas de changements: toujours aussi sympathique, amusant, et plutôt mieux fichu que le précédent (qui comportait une grosse erreur de logique interne). Même si j’imagine que plus d’un seront un peu surpris par le fait que l’action véritable (au sens course-poursuite et diverses violences) ne débute que vers la page 510 d’un livre qui en comporte 600: beau culot de la dame!
Etonnant parallèle à établir entre J.K. Rowling et… Greg Egan. Si, si: la potion portant chance fonctionne en fait exactement selon le principe de l’effondrement des probabilités dans le premier roman d’Egan (Isolation). De la magie quantique!