Si je dois poursuivre encore longtemps cette veine onirique, peut-être ce blog devra-t-il être rebaptisé « Slumberland »…
Mais je n’ai guère ni d’envie ni de temps, en cet été, à consacrer à un maintien plus assidu de cette page. Bien sûr, je pourrai vous commenter longuement ma récente lecture de Fables, un formidable comics de fantasy urbaine aux prémices très originaux, mais enfin, cherchez-les donc vous-mêmes dans les librairies, c’est même traduit, je crois.
Lorsque je ne joue pas avec les deux chatons ou que je ne papote pas avec mon coloc, je bosse, je bosse — et ne m’en plains pas, toutes ces taches éditoriales et scripturales étant ma foi parfaitement agréables. Le soleil ne darde plus, ouf! Depuis hier la température s’est effondrée, et c’est tant mieux. Fous sont les amateurs de chaleur. Encore très mal dormi cette nuit, curieusement — et pour une fois je m’abstiendrai de décrire les molles créatures et vagues effrois ayant peuplé mes désagréables cauchemars.