Back from Paris.
Ville trop bruyante: les voitures, toutes ces voitures, c’est l’horreur. Il est grand temps de supprimer une bonne part du trafic automobile intra-muros, sérieusement.
Back from Paris.
Ville trop bruyante: les voitures, toutes ces voitures, c’est l’horreur. Il est grand temps de supprimer une bonne part du trafic automobile intra-muros, sérieusement.
J’aime beaucoup recevoir les colis de DreamHaven – car je ne sais jamais au juste ce qu’il va y avoir dedans. En effet, je commande quelques nouveautés chaque mois ou presque (ainsi que des occasions, souvent), à cette formidable librairie de Minneapolis. Mais les colis mettent deux mois, bon poids, pour me parvenir. Entre-temps, comme je n’ai guère de mémoire, j’ai oublié ce que j’avais commandé, plus ou moins… La redécouverte est donc toujours plaisante!
Durant pas mal d’années, je commandais chez Andromeda à Birmingham, mais il y a belle lurette que leurs aléas divers m’en ont dissuadé, et j’apprends d’ailleurs qu’ils viennent de fermer. Depuis, DreamHaven est mon adresse de prédilection, en matière de librairie anglo-saxonne spécialisée en SF et fantasy. La libraire Elizabeth m’avait beaucoup aidé lors de mes recherches pour ma Cartographie du merveilleux, allant jusqu’à faire les autres bouquinistes de Minneapolis afin de me trouver pour pas cher les titres qui me manquaient.
A part ça, demain c’est le « grand jour »: ma première réunion avec les représentants du nouveau diffuseur des Moutons électriques, le CED.
Et ils savent bichonner leurs éditeurs: c’est carrément le boss de CED, qui va venir en voiture nous chercher à la gare demain
matin – Natacha (de l’Oxymore) arrive en même temps que moi, du coup il a décidé de passer nous prendre plutôt qu’on prenne le bus (le CED est à Ivry-sur-Seine). Classe!
On dirait que je ne peux plus zapper à la télé sans tomber sur Sherlock Holmes! Ces derniers temps, suite à une soirée thématique (assez médiocre), « The Woman in Green » et « La vie privée » passaient en boucle sur Arte, et voici que Paris Première rediffusait hier soir « Meurtre par décret ». Même s’ils ont fait un salon absolument géant au 221B Baker Street, contraire aux témoignages historiques sur les intérieurs de l’époque, j’aime beaucoup l’ambiance et les décors, le brouillard et les éclats de lumière dans la nuit, de ce dernier. Ah, les descriptions du mauvais temps londonien dans l’oeuvre de Doyle… « Lorsque le crépuscule se transforma en ténèbres, les lampadaires qui scintillaient dans l’obscurité de Baker Street révélèrent les premières rafales de neige à moitié fondue qui s’abattaient sur les chaussées vides et luisantes. »
Et pour poursuivre avec les biographies détaillées de personnages imaginaires, je relis ces jours-ci « The Life and Times of Scrooge McDuck » – dont la VF se nommait « La jeunesse de Picsou ». Le chef-d’oeuvre de Don Rosa: la saga complète de la vie tumultueuse de Scrooge McDuck à la recherche de la fortune, depuis son Ecosse ancestrale (où sa famille fut chassée autrefois de son château par la malédiction du Chien des Whiskervilles – encore le fantôme d’Holmes!) jusqu’à la ruée sur l’or du Klondyke, en passant par le Mississipi, l’Afrique du Sud ou l’Australie…
Je me demande tout de même pourquoi l’oncle Angus était rebaptisé John dans la VF?
Youpi: le site « new look » des Moutons électriques est en ligne!
Beau, simplement: le journal photographique de mon oncle Jean.
Très esthétique aussi, dans un autre genre, mais site trop compliqué je trouve: les oeuvres photo de Caroll’ Planque (qui a fait la couv du prochain livre à sortir aux Moutons électriques, fierté!).