Regardé hier soir deux DA (mangas) qui sont dans le stock énAUrme de mon ordi, superbes et étonnants: Elle et son chat, en N&B, une tranche de vie d’une jeune femme seule vue par son chat. Et Voice of a distant star, la correspondance (par mail envoyés par téléphone portable!) d’une toute jeune fille de 15 ans faisant partie des troupes d’élite envoyée sur la Terre vers Sirius afin de prendre contact – et de tuer – les Tarsiens, une race d’ET qui a massacré notre colonie marsienne, avec son petit ami lycéen resté sur Terre. Poignant, stupéfiant… Sont forts ces Japs! Ce que je me demande, ce’st à quel créneau (commercial, notamment) correspondent ces courts films tristes et esthétisants?
Chaque fois que j’avance dans le visionnage de ce qu’un copain m’a mis dans l’ordi, je prends cela comme des « shoots » d’esthétique, de planantes picouzes de beauté… Tiens, étonnant à quel point les vues de caténaires et de fils électriques sont devenus un cliché esthétisant, comme dans Lain…
ah… je me demandais comment poster un commentaire sans d’abord (le truc infernal…) m’inscrire ici ou là, mot de passe dont on ne se souvient jamais etc…
mais
« lain » a été un grand choc télévisuel, ne serait-ce que dans son propos hermétique, proche de l’inclassable/invendable que nous évoquions il y a quelques jours par mail; je garde les dvd à la maison, avec la possibilité de m’y replonger intégralement, ce que je ne fais pas
amicalement,
lh.