Lu hier soir le premier tome de la bédé Georges Frog, bien sympa, la vie d’un jeune musicos de jazz dans les années 40… J’avais remarqué ce titre sur le site des éditions Carabas et l’ai acheté dés que je l’ai vu. Quand il y a des animaux qui parlent, réflexe de Pavlov. Ce doit être un traumatisme d’enfance. Une overdose de Fox & Crow, une pile de Sybilline qui m’était tombé sur la tête, ou bien trop regardé la Maison de Toutou à la télé lorsque j’étais tout petit… En tout cas, je craque systématiquement sur le décalage opéré entre des perso animaliers et des situations narrées…

Aïe, ça y est: la canicule. Il fait 30° dehors et 30° dedans — en pleine nuit.

Trouvé le Libé du week-end dans ma boîte à lettres ce matin. Sachant que je viens justement de m’abonner à l’Huma, c’est déjà bizarre. Mais ce n’est pas le plus drôle: ouvrez ce canard à la page 34 de la rubrique « week-end ». Un gros titre: « Los Angeles Domwtown Confidentiel ». Collé sur une immense photo où se reconnaissent sans l’ombre d’un doute la Transamerica Tower et la vieille coupole de l’immeuble de la librairie City Lights. Une vue de San Francisco, par conséquent. Libé case donc une grande photo de San Francisco pour illustrer un papier de Philippe Garnier sur… Los Angeles?! Oh, mais c’est qu’il y a des gens ‘achtement cultivés, à Libé, dite?