Vers 2h et demi du matin, des beuglements avinés en provenance de la rue me tirèrent du sommeil. Ce qui me permet de me souvenir du rêve que je faisais à ce moment-là — un rien déstabilisant, tout de même: j’y étais une fille! Je ne pense pas avoir la moindre ambivalence quant à mon identité sexuelle de mâle, mais allez savoir. En tout cas, j’étais… Fantômette, et venait juste d’arriver pour m’aider, Michel, le personnage de la Bibliothèque verte. Il est vrai que j’ai toujours été un grand fan des exploits de Fantômette — je ne suis pas certain d’avoir jamais lu un « Michel » de Georges Bayard, en revanche.
Et que pense un fan de Fantômette du « Fantômette se pacse » de Cécile Vargaftig ?