Mauvaise nuit. Des cauchemars odieux. Mais heureusement, mon ami Seb était là: au tournant du cauchemar dont je me souviens le mieux, soudain il fut là, au volant d’une voiture, me fit monter et commença à papoter l’air de rien, jusqu’à me ramener à la surface de la réalité. Ouf, merci Seb.
Bizarrement, ce matin à la table de petit déj’ David et Olivier tiraient également grise mine: plein de cauchemars eux aussi. Quelle méchante jument nocturne plana donc sur notre logis, cette nuit?
Qui moi ! Non… Je n’ai pas le permis et dans mes rêves je conduis fort mal… je me suis amélioré, depusi peu je ne conduis plus…
oui: toi. je t’assure pour pour venir secourir un copain en plein cauchemar, tu conduis impeccablement! 😀
Est-ce que j’avais une Jaguar, une Mercedes de 1928 ou une Hispo-Suiza ?…
je n’y connais rien en bagnoles, donc c’était juste une grosse auto fifties, un genre de Peugeot je crois, gris sombre.
« and all along the watchtower the night horses and the black mares ready themselves for the outcome for the strange times upon us »
tori amos, mother revolution
lh.