Cette douce fraîcheur, la légère tension d’humidité dans l’air, le vent léger… Eh, pour un été pourri, v’là un été pourri comme je les aime! Pourvou qué ça doure, comme disait la maman de Napo (non, pas Sarkozy Mère, l’autre). Ça a fichu en l’air le concert piano solo de Philip Glass hier soir, zut, mais tant pis.
Je ne sais pourquoi, ce temps me donne envie d’écouter « Amakudari ». Cherchez pas: jamais sorti en CD. J’avais trouvé ce LP par hasard dans le temps, dans un bac de soldes. C’est un truc canadien, de la New Age tendance World indien. Très doux, pure atmosphère — un de mes albums cultes, absolument. Régulièrement j’ai ces accords qui me tournent en tête… Fort heureusement, mon paternel m’avait transféré sur CD quelques vynils, dont celui-ci. Mon autre album-culte-de-tous-les-temps est moins avouable (?): c’est un Supertramp. Mais le premier, le tout premier, que personne ne connaît: pas du tout dans le style soupesque de leurs succès postérieurs. C’était un LP dans un style Canterbury mâtiné de Nick Drake, très doux et anglais.
ohé non! temps de merde, j’espère, moi que ça va pas durer! je veux de la chaleur et du soleil nom d’un chien! 🙂