« Et par les quais uniformes et mornes,
Et par les ponts et par les rues,
Se bousculent, en leurs cohues,
Sur des écrans de brumes crues,
Des ombres et des ombres. »
(Émile Verhaeren)
« Et par les quais uniformes et mornes,
Et par les ponts et par les rues,
Se bousculent, en leurs cohues,
Sur des écrans de brumes crues,
Des ombres et des ombres. »
(Émile Verhaeren)
André! T’as oublié ton parapluie! il te reviendra bientôt
c’est cette citation pluvieuse qui te fais dire ça? non, j’ai bien mon parapluie: c’est plutôt Axel qui a oublié le sien, je suppose… 🙂