Jolie synchronicité: alors que, de bon matin, je m’apprêtais à faire du thé, un facteur livra mon paquet de tarry souchong. Eh oui, car mon fournisseur habituel étant tout le temps en rupture de stock, j’ai été obligé de commander mon thé sur le web… Et il était temps: j’étais en manque. Je vais pouvoir siroter quelques tasses savoureuses tout en finissant de lire The Separation de Christopher Priest.
Archives mensuelles : décembre 2009
#1782
Froid glacial. Suis resté ce matin au chaud de l’appart de poche de Thibaud (pas d’exposition à Beaubourg, snif: y’a grève) et ai un peu bossé sur le 2e tome du Dico féerique. Repas et blabla avec Alexandre Mare, et enfin réunion des représentants. Ouf: je rentre à ma maison…
#1781
Petite halte au sein de la rude froidure parisienne, dans le joli petit appart que me prête gentiment Thibaud Eliroff, merci copain. J’étais hier au salon de Sèvres, à l’ambiance toujours fort sympathique – c’est l’occasion de voir quantité d’amis zet relations, ceux du fan/prodom parisien aussi bien que quelques autres, venus par exemple de leurs lointains Valenciennes ou Epinal, et se voir « en vrai » fait toujours un bien fou. L’affluence publique ne fut cependant pas au rendez-vous, ce qui me semble diminuer non moins fortement la portée d’un tel événement. Est-ce la crise, le froid, un éventuel manque de com, je ne sais, je constate simplement et suis un brin déçu d’avoir si peu signé.
Ce matin, promenade aux Halles avec les amis Heliot et Mauméjean (il n’y a vraiment que ces deux pervers pour parvenir à me traîner dans un centre commercial peu de temps avant Noël…), longs palabres, échanges et plans sur la comète (Xavier qui sait toujours tout me dit que mon Voleur masqué est le meilleur placement de la collection « Chambre noire », wahou), avant que je n’aille déjeuner non moins longuement dans un resto éthiopien en compagnie du Daylon et de mon oncle Jean. Suis aussi allé à Orsay (comme d’habitude, dirai-je), dont l’expo sur l’Art nouveau est tout à fait anecdotique (une poignée de rapprochements avec les sixties psychédéliques et hop, c’est bouclé) ; mais Ensor, ah, Ensor ! Hautement recommandable. Un énorme talent du dessin et des tableaux souvent saisissants, très loin du banal, lumineux, vibrant, grimaçant, bouillonnant. Impressionné je suis.
(oh, et mon iPhone fonctionne enfin, c’est fou)
#1780
Week-end parisien, pour le salon de Sèvres. Viendez-y! (et toujours sans portable: bientôt un mois que je demande à Orange de mettre en route mon abonnement, ils sont formidables)
#1779
Je cause dans le poste: une interview par mon vieux copain Michel Rossillon réalisée l’autre jour au festival de Cluses, et diffusée sur Radio Mont Blanc.