Après le repas, fait quelques pas dans Annemasse, bled complètement moche, du genre a rivaliser avec Villeurbanne. En attendant l’heure de ma conf, je poursuis dans cette chambre d’hôtel grande et belle la relecture de la traduction du roman de Terri Windling, L’Epouse de bois. Trad impeccable de mon copain Serguei (Stephan Lambadaris), les retouches a faire sont minuscules. Je relis ce texte avec un intense plaisir, c’est vraiment de la superbe littérature. Subtile, intrigante et magique.
Constat effrayant, « Annemasse, bled complètement moche », moi qui pensais que le brouillard impénétrable avait réussi à révéler la vraie beauté de cette ville 😉
oh, l'épais brouillard ne suffisait pas à complètement camoufler l'éminent manque de charme de cette bourgade… 🙂