J’oublie trop souvent que je n’ai plus vingt ans. Mes quatre jours de vadrouille (conférences et salon) en Haute Savoie m’ont pas mal fatigué, et voici que, apprenant que les travaux de rénovation de mon appart étaient confirmés pour la première quinzaine de décembre, je me suis piqué de réorganiser un peu mon salon puis, surtout, le bureau. Résultat: grosseuh fatigue. Pas aussi pire que les deux fins d’année précédentes, mais quand même. Râh là là, c’est pénible. Et pas question de prendre des vacances, avec tout ce que j’ai à faire, tant pour les Moutons (qui vendent plutôt bien mais sont fauchés comme d’habitude, ça aussi ça m’use — et Anne-Marie Métaillé me disait l’autre jour que même après 30 ans d’édition ça ne change pas, il est de la nature même de notre boulot de ne pas parvenir à avoir une trésorerie) que pour mes propres écrits. (c’était la minute de ronchonnerie)