Vous avez beaucoup de livres, beaucoup de livres, s’étonna le plombier ce matin, avant de commencer à casser la salle de bain. Oui, beaucoup de livres. Que ça, même, dirai-je. Une vie de livres. Et, enfermé dans le bureau en compagnie des félins (Nina, Jabule et Carmilla un peu apeurées par tant de vacarme et de remue-ménage), je débute la lecture de The Victoria Vanishes de Christopher Fowler, un volume de cette série « Bryant & May » dont Patrick Marcel me conseille la lecture depuis longtemps. Les enquêtes de la Peculiar Crimes Unit de Londres, entre polar et fantastique.
Rien n'échappe au regard acéré de l'homme de l'art.
La question rituelle qui suit ce genre de phrase est, généralement :
« Et vous avez lu tout ça ? »
🙂
oui, fort heureusement il m'a évité ça.
sans arriver à la cheville de mon illustre fils, j'ai aussi pas mal delivres. Lors d'un déménagement, je déclare à la patronne de l'entreprise à laquelle je fais appel qu'il y a 80 cartons de livres à se coltiner. Elle me répond : »non, vous devez vous tromper, personne n'a jamais eu autant de livres ! »
Quand je déménage, je transporte mes bouquins dans des caisses de vendanges. Elles possèdent les avantages d'être très solides et rigides, d'avoir des poignées, de pouvoir s'empiler sans risque et on peut mettre une bonne centaine de livres dans chacune. Seul inconvénient : ça pèse très lourd…
Moi les déménageurs refusent carrément de me déménager (non, je plaisante, mais c'est devenu un problème pour moi les livres, je ne sais carrément pas quoi en faire et j'envisage de louer un garde-meuble pour les stocker).
Bienvenue au club… :-((
Moi, depuis que j'ai une cheminée, je les brûle.
De toute façon, c'est pas comme si on les lisait, hein?
Je t'interdis catégoriquement d'approcher à moins de dix mètres de mon appartement. Iconoclaste! Pétroleur! Fumiste!