Râh là là, c’est affreux ce que je me lève tôt, avec ces travaux chez moi.
C’est étonnant, la bédé: les choses étranges et intellos que l’on peut y publier! Lu hier Flaubert la dernière ligne, de Jacques & Casenave, publié chez les Rêveurs, la boîte de Larcenet. Belle et étonnante évocation de la vie de ce cher Gustave. Depuis mon ancien coloc, j’ai choppé le virus flaubertien et dans les derniers temps où j’étais encore en fonds, je m’étais payé une série de reliures anciennes, en cuir, des différents Flaubert — mais je n’ai toujours pas Bouvard et Pécuchet, sapristi, c’est le dernier Flaubert que je n’ai pas encore lu. Faudrait que j’en trouve une belle édition.