Cette semaine, ça va être la grand-messe : celle de LivreParis, l’ex-Salon du Livre de Paris, porte de Versaille, et les Moutons électriques y auront un grand stand en compagnie de nos amis des Indés de l’imaginaire, que dis-je même, deux stands, un pour les Indés et un pour nos deux labels en commun, Hélios et Naos, ça c’est du luxe. Et quelques 36 auteurs en signature, fichtre. Du coup, c’est moi qui suis contrariant, je regrette un peu (oh, un petit peu) de ne pas y aller... Car non, je n’y vais pas, trop de temps, trop de fatigue, je lève le pied sur les salons, ne vais plus faire que ceux de Bordeaux (ça tombe bien) et de Sèvres, je pense. Et vu les frais colossaux de ce salon parisien, je vais éviter d’y ajouter encore un billet de TGV, je pensais faire juste un saut, mais tant pis — dommage, ça va me faire un peu bizarre de ne pas voir tou’l’monde.
Et tou’l’monde va trouver aussi un peu triste que tu ne sois pas là !