C’est la dernière mode, dans le quartier près duquel j’habite: un bâtiment hâtivement construit dans les années 70 est moche? Hop: on le cache dans un coffrage en verre. Ils avaient déjà fait cela pour l’entrée du centre commercial, ils viennent aussi de bâtir un immense sarcophage de verre autour de la halle, et une sorte de trompette géante pousse devant la bibliothèque.
Sur le côté de cette dernière, sur le pavage en bois au bord des massifs fleuris, de multiples traces de bave, enchevêtrées et brillantes, indique que les lieux sont un havre pour limaces ou escargots.
Bonjour,
J’ai découvert votre blog en cherchant une critique d’un roman de Kate Atkinson, et j’ai lu votre remarque à propos de Dans les replis du temps : « (Dans les replis du temps en traduction massacrée au Livre de Poche) »…
J’avais découvert Kate Atkinson avec enchantement en lisant La souris bleue (autre traducteur).
Je viens d’essayer (en vain) de terminer Sous l’aile du bizarre (traduit par le même traducteur que Dans les replis du temps), et je m’abstiendrai donc d’ouvrir Dans les coulisses du musée 🙂
Dommage,il paraît que c’est le meilleur (et premier) roman de Kate Atkinson.
Dans Sous l’aile du bizarre, les personnage « produisent » un stylo ou un poignard, les broches sont « serties d’une émeraude », et l’on trouve un « aliment plus robuste que le yaourt à la fraise » !! J’en passe, et des plus désolantes 🙂
Quel gâchis…