J’avais demandé un service de presse du recueil de Lelio, chez l’Oxymore (Douze heure du crépuscule à l’aube), vu les louanges qui m’en étaient fait. Je l’ai lu hier soir en bonne partie.
Oui, bon… Force est de constater une fois de plus que le fantastique n’est *vraiment* pas ma tasse de thé. Je ne le chroniquerai pas: je ne saurai pas trop quoi en dire. Ces nouvelles sont assurément belles, mais subjectivement je trouve ça beaucoup trop gratuit, morbide et un peu surécrit… Ce qui est l’impression que me laisse en général le fantastique… Quant au thème sur Israël, bah, il ne me parle guère non plus. En bref: certainement un excellent livre, je n’en doute pas, mais qui n’est absolument pas fait pour moi.
Tiens, c’est un peu comme les photos de Michael Kenna: objectivement très beau mais selon moi trop esthétisant, trop froid.