Ouch, grosse fatigue: en début d’après-midi j’ai soudain eu l’impression de n’avoir plus que deux neurones — les boyaux de la tête grippés, je ne parvenais plus à écrire, ne comprenais plus grand-chose à ce que je lisais… Brrr. Drôle d’impression, ça, que de se sentir en brutale « baisse de régime » intellectuelle.
Du coup, comme j’étais avec mon copain Rafu pour bosser sur notre bouquin pour Klinsieck, nous avons changé notre fusil d’épaule. C’est Rafu qui a surtout travaillé, commentant et rédigeant. Oh, Audrey, j’espère que je n’étais pas trop incohérent lorsque tu as appelé: j’étais en pleine perte de neurones!?
Allez: ça ira mieux demain.