Lire simplement pour le plaisir: pas forcément une occasion si fréquente que cela, lorsque comme moi on lit le plus souvent avec en toile de fond une préoccupation de documentation pour tel ou tel projet. Cela constitue donc une jolie relaxation. J’ai terminé le Shadow Year de Jeffrey Ford — délicieux, sombre, étonnant, un vraiment très très grand livre, sous ses dehors modestes. Là je suis en pleine cure de Charles de Lint. Longtemps que je n’en avais pas lu: cinq volumes de retard. Bon, surtout des petits volumes minces, mais quand même. Dingo, Little (Grrl) Lost, Promises to Keep… Je retrouve avec beaucoup de bonheur la petite musique de cet auteur canadien, toujours juste, toujours touchante. Je vais partir presque une semaine, du 16 au 21, et ne sais encore ce que je vais emporter avec moi. Peut-être des Alexander McCall Smith, j’en ai également plusieurs de retard et j’ai des envies d’Écosse — pour l’icono de mon étude autour de Harry Potter j’ai demandé à un ami, Nicolas Le Breton, de me filer les photos de son voyage. Et ce fut un choc: bon sang que ce pays est beau! Du coup, je regarde une série documentaire britannique de l’historien Neil Oliver (j’adore son accent…) sur l’histoire de l’Écosse. Je n’y suis jamais allé. Il faudrait.
J'y suis allé il y a une dizaine d'années et ça vaut vraiment le coup. Laisse-toi tenter !
oui, si j'pouvais… 🙂