Je ne sais pas pourquoi, mais l’autre soir je me suis mis à repenser à une série pour la jeunesse de 1970, Here Come the Double Deckers (L’Autobus à impérial). J’adorais ça, étant enfant — j’avais même un gros crush sur le personnage joué par le petit Américain, Bruce Clark. Je les ai revus il y a quelques années et… j’adore toujours cette série, j’avoue. Du coup, me suis dit qu’il faudrait que j’écrive, pour le futur volume de la Bibliothèque rouge sur les « jeunes détectives », un chapitre sur les terrains vagues: cette série, la Ribambelle de Roba, les 4 As de Chaulet & Craenhals, et encore bien d’autres bandes de mômes de fiction…
Archives de catégorie : Bibliothèque rouge
#2267
Mon gentil webmaistre à moi que j’ai a trouvé le moyen de réparer les commentaires (merci m’sieur). Et du coup on numérote les billets de ce blog. Si, si : j’en suis bel et bien à 2270 billets. Moi-même ça me donne un peu le vertige.
À part ça, j’ai mis en pages ce qui est déjà prêt comme matos pour Londres, une physionomie, histoire de voir comment tout cela s’organise et de rédiger les petites introductions ; et vais me remettre au papier sur le Londres de Sherlock Holmes, tout en continuant à lire et cogiter pour les papiers à venir sur le swinging London et sur le Blitz (sur ce dernier, trouvé un documentaire datant de 1968, c’est saisissant). Vague idée aussi pour un bref papier sur le canal du Régent.
#2258
Right ho! Après Hercule Poirot, une vie, je suis encore et toujours en pleine Bibliothèque rouge, rédigeant mes papiers pour le volume Londres, une physionomie (qui doit sortir en mars 2013, en même temps que son petit frère Paris, une physionomie que je co-dirige avec le sieur Alexandre Mare). Écrit un article sur le Londres d’Hercule Poirot (48 000 signes), un autre sur le Londres de Jack l’Éventreur (38 000 signes), maintenant j’entame celui sur le Londres de Jeeves — chic !
Mais il fait chaud, pff, trop chaud. Ou selon les mots immortels de Bertram Wilberforce Wooster : « It was the hottest day of the summer, and though somebody had opened a tentative window or two, the atmosphere remained distinctive and individual. »
#2256
La science avance : hier j’ai calculé les âges de Jeeves et Wooster, aujourd’hui j’ai trouvé l’église de Londres où, en bon catholique, Hercule Poirot allait certainement prier. Moi j’vous dis, je gagne pas beaucoup de sous mais je ne m’ennuie pas.
#2254
J’ai commencé à sérieusement turbiner sur le « Bibliothèque rouge » Londres, une physionomie, pour lequel je n’avais encore qu’un gros article du professeur Mauméjean sur les clubs, dactylographié un journal de voyage de 1927, corrigé un article de Théophile Gautier, et sélectionné un certain nombre de textes à traduire. Ah, et j’avais aussi rédigé trois promenades/guides, tout de même. Maintenant j’attaque les morceaux les plus gros qui m’incombent. J’ai rédigé un article sur l’East End en 1888. Je débute celui sur le Londres d’Hercule Poirot, pour rester dans cet élan. Et je viens de me livrer à quelques savants calculs sur les âges probables de Jeeves et Wooster, lors de leurs célèbres mésaventures des années 1920…