Pas culturellement correct, épisode 32: la science-fiction et le merveilleux, c’est sale. Avant-hier soir, je me trouvais à un buffet après une conférence aux Chartreux, la grande cité scolaire catho où officie mon ex-coloc. Un vieux bonhomme auto-édité s’était glissé là, grosse barbe de Père Noël et même la veste rouge qui va avec. Il me demande si je suis prof aux Chartreux, je lui explique que non, je suis éditeur. Ah, comme moi, me dit-il (ah ah ah). Et de me demander, fatale erreur, ce que j’édite. Réaction à ma réponse: « ha ». L’oeil soudain éteint, l’attitude gênée.
Reste à espérer pour ce respectable gentleman que tu ne l’aies pas « pollué » par ce simple dialogue avec lui…
Quoi ? Tu avais une touche avec le Père Noël et tu réussis à la faire fuir ? Bon, d’accord, on sait que ce n’est pas ton genre. Pff ! C’est pas à moi que ça serait arrivé, tiens !
Pff, tu aprles: bien ma chance qu’au milieu de tous ces jeunes gens icnroyablement beaux et lisses, je sois alpagué par cet affreux vieux machin hirsute… 😛
Dommage que je ne sois pas lyonnais. Moi, ce sont toujours les affreux jeunes gens beaux et lisses qui viennent me parler de comics, de mangas et d’autres trucs. Si j’étais à Lyon, on pourrait utiliser la « tactique Neaud » (cf. Lé’Eprouvette n°1)