Entre deux quintes de toux (rhume des foins, merci la campagne) et deux averses, je parviens à m’installer un peu sous le pommier pour écrire, le reste du temps dans la véranda. Je viens de dépasser la barre des 400 000 signes. Reste moins de 100 000 pour finir le roman, je pense. L’affaire de 4 ou 5 jours de travail sans trop me presser.