« Les lieux vides et flous que j’explorais m’offraient le surplus d’inconnu que me refusait désormais la fiction, musique d’ambiance moulinée par la télévision, et les magazines, pâte grise égalisant les surfaces, arrondissant les angles et bouchant les fissures. J’étais revenu au réel pour trouver du merveilleux, alors que c’est précisemment cette quête qui m’en avait, à l’origine, éloigné. » (Philippe Vasset)