Calvo avance bien dans l’agencement final de son nouveau roman/recueil. J’ai quasiment maquetté le « Bibliothèque rouge » sur Hercule Poirot. Il fait formidablement beau et doux. Allongé hier sur le divan-lit déplié, je me disais qu’il ne manquait plus qu’un parasol planté dans le parquet poour se croire à la plage. Ces idiots de petits chats ne cessent de prendre des risques sur le bord des fenêtres (Jabule est tombée avant-hier). Je suis toujours fatigué, mais un peu moins. J’ai les yeux qui piquent.