En revanche, pour rester dans le « domaine » des « faux mangas », je ne peux pas dire avoir été bien enthousiasmé, hier soir, par ma lecture de Death at Death’s Door de Jill Thompson.
Prendre un petit aspect du Sandman de Neil Gaiman et le développer sous la forme d’un pseudo-shojo manga, mouais, bof. Le graphisme me semble trop dérivatif, techniquement bon mais adoptant par endroits des codes narratifs qui lui sont étrangers, & cela se voit…