Il pleut. Tant pis: je travaille, j’avance bien. Dans les 30 000 signes par jour. Comme d’habitude, des doutes, bien sûr: n’est-ce pas trop contemplatif, ce chapitre? Et celui-là, est-il trop bavard? Enfin, je suis content d’écrire. La pluie fait un bruit assourdissant au-dessus de moi, sur le toit de la verrière. Le jardin est gorgé de vert.
Un temps à se flinguer! Il faut toutes les ressources de la philosophie spinozienne (je suis un adepte) pour tenir! 🙂
waf! moi j’aime bien, cette douceur, ces éclaircies, ces petites averses estivales…