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« J’aime Londres, beaucoup plus que la campagne anglaise; oui, j’adore Londres, c’est une masse, un ensemble, et c’est si simple. Puis, dans Londres, par-dessus tout, ce que j’aime, c’est la brume. Comment les peintres anglais du XIXe ont-ils pu peindre les maisons brique par brique? Ces gens ont peint les briques qu’ils ne voyaient pas, qu’ils ne pouvaient pas voir! »

Claude Monet, dans une lettre datée du 28 novembre 1918.

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