Beau début de journée. Je sors, et tout de suite ce vent frais et légèrement humide, sous un grand ciel bleu, me fait penser à l’océan. Sentiment renforcé par le bruit des bourrasques dans le haut des arbres, la senteur des fleurs, celle de l’herbe mouillée… Et jusqu’au fort accent du Sud-Ouest de Morgane C. au téléphone (hé hé hé) qui me fait penser à cette évidence pas encore bien ancrée en moi : « l’Atlantique n’est pas loin »…
Partant déposer encore un lot de Jawo à la boîte la moins loin (j’arrête plus), soudain une scène à la Patrick M. : « Monsieur Ruaud, j’ai un colis pour vous ». Et le facteur croisé dans le quartier à côté de me tendre une petite boîte, que, curieux, j’ouvre derechef : oooh, une boîte de macarons de St-Jean-de-Luz, cadeau de la maman de Xavier M. ! (je lui envoie de temps en temps des bouquins) « Friandises du pays basque ». Ça c’est chou.