93 ans c’est un bel âge, bien sûr. Malgré tout je ne peux pas m’empêcher de ressentir un véritable chagrin à l’annonce de la disparition de Patrick Macnee. Voilà un monsieur qui fait profondément partie de mon imaginaire ; je crois que si je suis tant anglophile, c’est en grande partie de sa faute. Je me sens un peu orphelin, soudain. Il y a comme ça quelques décès que je redoute, un autre est celui du poète Jacques Réda, également très âgé.