Grande promenade hier sous un ciel pesant et voilé, entre genets, chênes et chênes verts, sur la caillasse blanche et le sable, tandis que s’ouvraient çà et là des perspectives sur les collines en vagues vertes et les parcelles violettes de la lavande, au sein des vols de papillons. Jusqu’à l’ô combien pagano-celtique source des nymphes, où ces dernières avaient été remplacées par moult grenouilles flûtantes et croassantes. J’attends maintenant l’heure du départ sous un océan rugissant d’arbres bousculés par le mistral.