Une journée plaisante qui s’achève sur un chagrin : un ami m’annonce la mort de Michel Suffran, le grand écrivain bordelais. Grace à cet ami, j’avais eu la chance formidable de lui rendre visite chez lui, sidérant hôtel particulier empli jusqu’à l’étouffement de livres et de tableaux. Je l’avais revu une autre fois, à la brocante dominicale. Un homme exquis, et un grand auteur qui n’a jamais joui de la renommée que méritait son talent. Quelle tristesse, je ne sais que dire d’autre.