Un Maigret des débuts, 1931. Formidablement chargé d’images et d’ambiances, une langue évocatrice et bien personnelle, les détails du passé et la gourmandise du style. Lecture parfaite pour jour de pluie où tout dégouttèle au dehors et où le férié rend la ville muette. Ciel livide et feuilles tremblantes. Un « roman gris » pour journée de grisaille.