#4022

Ça y est, les journées s’achèvent plus tôt, entre huit et neuf les trains sifflent sous un éclat du ciel qui n’éclaire pas, du bleu sombre monte dans le jardin. Les grandes mains du figuier virent déjà au jaune. Avançant lentement vers le rétablissement, j’ai tapé au propre deux des trois nouvelles composées cet été. Je me demande d’ailleurs ce que valent ces tablettes / bloc-notes numériques, si réellement la conversion au texte tapuscrit s’avère satisfaisante.

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