Samedi matin en forêt, à remonter un ruisseau intermittent en évitant les embâcles (les tas de branchages accumulés par les flots d’orage) et un peu en pataugeant, fraîcheur verte sous les chênes et les pruniers, ces derniers offrant quelques délicieux fruits jaunes et sucrés. Un écureuil, des chevaux. Et ensuite, un an après, retour à la chartreuse de mon parrain pour un bref week-end campagnard (qui sera tout de même écourté par l’obligation civique).