La promenade c’est parfois comme le souvenir selon Baudelaire, une tentative d’insubordination pour rendre actuel et disponible. Bref, on se secoue et on regarde. C’est aussi une détente sans frais, mais moi le grand marcheur je dois la réapprendre, sur mes jarrets démusclés et mes chevilles fragiles. Un petit peu à la fois.
#5158
Répondre