En cette langueur estivale dont je redoute la prochaine canicule, je viens de trouver une bien belle formule chez Robert MacFarlane sur les gens qui se croisent sans se connaître, « foreign as dark fish in ink ». Et hier soir j’ai entrepris de relire l’un des chefs-d’œuvre de Simenon, ce Port des brumes si plein de gens et de brouillards.
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