Joie, bonheur: terminé à l’instant un bon gros dossier bien compliqué de demande de subvention… Raah!
Suis le nez dans la maquette du James Bond pour la « Bibliothèque rouge ». Ça, par contre, c’est bien rigolo — au point que, bien que directeur littéraire avant tout, je m’octrois aussi le plaisir de faire en entier les maquettes de cette collection-là: pas touche, c’est à moi!
🙂
C’est joli, et puis instructif : qui savait, en effet, (mais de là vient peut-être son succès auprès du sexe dit faible) que James avait la bite en spirale ?
… Et qui dépassait de la poche de sa veste, il faut le noter.
Il est trop fort, ce James Bond.
cherche pas: j’ai ouie dire que cette « ursula marx » est en fait un traducteur grenoblois, à l’anatomie notoirement extraterrestre. 😉
J’aime bien l’éclairage, par contre je trouve que par rapport aux motifs de léopoque on est assez timide. J’aurai aimer voir des choses plus dans l’esprit d’un Saul Bass.
Saul Bass n’était pas franchement pop et se trouve (évidemment) plus associé aux formes de thriller d’après guerre plutôt qu’aux pulps (et associés).
De toute manière, chacun sait qu’Ursula Marx est un shemale.