Le retour des aventures d’André face aux mystères insondables de la nature… Plein de bruit dehors, je sors pour une fois dans le jardin (un espace que je dois encore m’approprier, le temps pluvieux m’en ayant empêché jusqu’alors), je lève les yeux… Ooooh! des vols de canards, plein plein plein de vols de canards, passant très haut sur le bleu du ciel en formations en V ou en X ou en griboullis parce que les canards ne savent pas bien écrire… Le tout dans un raffut de cancanages (cancanements? non, le correcteur orthographique n’en veut pas non plus), c’était saisissant, fascinant. Je n’avais jamais vu ça, à Lyon la ville n’est pas survolée par des migrations aviaires…
Bon il paraît qu’en fait c’était des grues. Mais c’était bien quand même.
Il y a des vols de grues depuis plusieurs jours au-dessus de Bordeaux, c’est ce que tu as dû voir ! Les beaux jours sont bel et bien de retour 🙂
Ah, mon Dédé, ta naïveté d’ornithologue amateur m’amuse : il est bien possible que tu n’aies pas eu l’habitude de lever la tête quand tu vivais à Lyon.
La capitale des Gaules est survolée par bien des volatiles, mais peut-être moins au-dessus de ton ancien quartier (squatté par les pigeons) qu’au niveau du Parc de la Tête d’Or ou le long des fleuves.
A Lyon, il y a même des hérons : http://www.leprogres.fr/rhone/2014/02/21/un-heron-dans-les-bassins-de-la-confluence et, en poussant un peu jusqu’à la Dombes voisine, c’est véritablement le paradis des oiseaux (je t’assure y avoir même vu des cigognes !!!)