Ce matin je me suis enfin occupé de commander les étagères dont j’ambitionne de couvrir les murs du bureau jusqu’aux 3m10 de hauteur. Un système allemand, que m’avait trouvé Seb Hayez, et qui n’a que le défaut d’exiger un délai de livraison fort long – je n’aurai pas mes bibliothèques avant le mois de mai. Bref, c’était donc la fin de mes dépenses de déménagement, je me retrouve à un niveau financier, hum, disons, « habituel ». Comparativement pauvre donc, mais néanmoins satisfait de mon sort. La vie normale reprend son cours, après une cavalcade de plus de deux mois qui, à la considérer rétrospectivement, fut tout de même assez épouvantable et très éprouvante. Mon dos en témoigne — ouille.