D’habitude, je n’ai pas de « pile à lire », rangeant au fur et à mesure les bouquins dans les rayonnages. Cela m’évite à la fois de mettre du bazar (je suis passablement maniaque) et de réaliser l’ampleur de ladite pile. Mais là, comme les immenses bibliothèques destinées au bureau ne sont pas encore arrivées, j’ai du me résoudre à la pratique ordinaire de la « pile à lire ». Et celle-ci fait déjà douze livres de haut, sans compter ceux qui sont dans ma liseuse, en particulier une trilogie pour une éventuelle préface. Sans compter non plus quelques essais, déjà rangés.