70 000 signes et je commence à bien prendre la mesure, le ton et le plaisir de ce roman, je crois. Le premier bêta-lecteur du précédent m’en a dit des choses gentilles, il n’est pas entièrement convaincu mais ça m’a rassuré quand même. Faut que je revienne un peu dessus. Toute la question de toute manière est : puis-je en temps « normal », c’est-à-dire non estival, trouver le souffle nécessaire pour poursuivre cette mienne décision d’écrire de la fiction de façon régulière ? Time will tell.