#2877

Nécessaire mais pas forcément raisonnable, une réunion commerciale me réclamait hier à Paris. Il convient d’espérer que nous passâmes entre les gouttes du virus, si j’ose dire, et ce fut en tout cas du travail fructueux, porteur de pas mal de bonnes choses pour les Moutons électriques je pense – et on en aura bien besoin, vu la conjoncture économique inquiétante. Enfin, tant qu’à n’être pas raisonnable je me suis rendu en ces superbes antres de perdition que sont Shakespeare and Co et Album Comics et… me suis perdu, grave. On va dire qu’il faut renforcer les provisions de livres pour ces semaines de confinement qui s’annoncent. Au retour, suis parvenu dans une Gare Montparnasse plus chaotique que jamais a entr’apercevoir juste un pan de beauté qui m’y fait chaque fois plaisir : les fresques de Vasarely, splendides œuvres offertes au regard publique, témoins d’un certain génie des seventies pas encore supplanté par les époques suivantes (j’ose espérer qu’elles sont classées ?).

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