Écrit cette nuit le début d’une nouvelle qui sera certainement la plus steampunk de Bodichiev, plutôt du « jonaspunk » — rêvé au matin de madame Maigret, la vieille dame dont je fus le dernier client avec mon ami Fabrice — et sur conseil de mon fils j’écoute une émission de la BBC radio 6, musiques dansantes saupoudrées de commentaires pince sans rire du toujours impeccable Bill Nighy. Tâcher de se relaxer en dépit des vilénies législatives. Michel Pagel me suggérait l’autre jour de fonder l’AVEMARIA : l’Association des Vieux Éditeurs Marris d’Avoir une Retraite Indigente et Affamés — pas évident que je puisse jamais prendre la mienne.