Bonheur et soulagement: j’ai bouclé tout ce qui devait l’être avant mon escapade florentine.
Le Frankenstein et le Dracula sont chez l’imprimeur, les dernières pages du deuxième gros livre illustré avec Fabrice Colin sont rendues, la postface pour le Michael Coney chez Bragelonne itou. Bon, en rentrant il y aura à nouveau des tonnes de choses à faire et à écrire, mais pour l’heure: c’est fait. La fin de presque deux mois de marathon — je n’avais jamais autant écrit de ma vie, et ma foi c’est fort agréable.