« What shall I do? » repeated Coraline. « Draw something, » Her mother passed her a sheet of paper and a ballpoint pen. Coraline tried drawing the mist. After ten minutes of drawing she still had a white sheet of paper with M I S T written on it on one corner in slightly wiggly letters. She grunted and passed it to her mother. « Mm. very modern, dear, » said Coraline’s mother.
Je disais il y a deux jours que j’attendais le nouveau Gaiman, Coraline. Il est arrivé, et je l’ai lu. Mais ne sais qu’en dire. Si, si: il est excellent! Ce n’est pas cela. Juste que je ne sais trop comment parler de ce qui est finalement un petit « roman pour ado » assez simple, du fantastique par moment marrant (le passage ci-dessus cité m’a fait éclater de rire) & par moment un peu effrayant. Le thème n’est pas absolument neuf, mais traité de manière attrayante, prenante, et coloré d’agréable manière par les connaissances de Gaiman en matière de féerie/magie… Je l’ai lu d’une traite! Il n’y a pas, il sait écrire, m’sieur Gaiman.
Bon, j’en ai déjà dit pas mal pour un livre sur lequel je ne sais pas quoi dire, hein? 😉
Ah si, encore: il m’a rappelé, ton & style, The Thief of Always (Le Voleur d’éternité) de Clive Barker. Même talent.