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Ce que je préfère, en lecture, c’est encore lorsque je dévore un bouquin, que je ne peux plus le lâcher… Attitude primaire? Eh bien, peut-être pas, car ce genre de lectures-boulimies peut chez moi s’effectuer dans des genres fort différents. Et là, ma dernière en date se situe bien loin des best-sellers — il s’agit du Roman de la peinture moderne de Jacques Gagliardi, chez Hazan, un énorme pavé d’histoire de l’art. Mais alors, quelle maestria! Un style vivant, brillant, une culture qui ne se cantonne pas comme d’habitude aux beaux-arts franco-français mais embrasse une large palette de nationalités, et un panorama historique qui court de Goya à Koons… Epatant. Vraiment: je dévore.

Ah sinon, très content: de très belles réactions au Fiction tome 4, déjà (posté aux abonnés et collaborateurs, mais en librairies seulement le 27). Il serait bien que ce livre-revue s’installe vraiment, solidement, dans le paysage éditorial, isn’t it?

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