#1574

Un petit communiqué de Nicolas Lozzi, le nouveau rédac-chef de Yellow Submarine:

Le prochain Yellow Submarine (parution juin) parlera du jeu et de la science-fiction, avec trois axes forts: 1) les littératures de l’imaginaire (au sens large donc : SF, fantasy, fantastique) ont influencé l’essor du jeu dans la deuxième partie du XXe siècle sous toutes ses déclinaisons (jeu de rôle, jeu vidéo, livre dont vous êtes le héros, jeu de société) 2) à partir des années 70, il y a eu interpénétration de l’influence de la SF sur le jeu et de sa réciproque; c’est particulièrement vrai avec le jeu vidéo; le jeu est donc sans doute l’un des plus puissants vecteurs de l’esthétique SF/fantasy/fantastique à l’heure actuelle 3) le jeu est art: il y a des auteurs, des éditeurs, des courants esthétiques, et un public: les jeux sont des oeuvres de l’esprit au même titre que la littérature

– Une petite histoire du jeu (Nicolas Lozzi) : article
– Le jeu dans le cinéma de SF (Raphaël Colson) : article
– L’édition de jeux de rôle : interview de Philippe Ros
– Histoire des jeux vidéo : article (Julien Annart)
– Fiction sur le jeu de go (Paul Drouot)
– Article (encore indéterminé) de Jean-Philippe Jaworski
– Le jeu vidéo, forme d’art émergeante, et son analyse politique (Sébastien Genvo) : article
– Le passage du jeu de rôle à l’écriture (Fabrice Colin) : docu-fiction
– Les jeux à réalité alternée (Rémi Sussan) : article
– Bibliographie (toute notice bibliographique est bienvenue)

Ainsi que sous caution :
– Article de David Calvo
– Article d’Alain Damasio
– L’édition de jeux vidéos (Lexis Numérique) : interview
– Faire jouer : interview (association de joueurs lyonnais)

#1573

Un petit communiqué de Nicolas Lozzi, le nouveau rédac-chef de Yellow Submarine:

Le prochain Yellow Submarine (parution juin) parlera du jeu et de la science-fiction, avec trois axes forts : 1) les littératures de l’imaginaire (au sens large donc : SF, fantasy, fantastique) ont influencé l’essor du jeu dans la deuxième partie du vingtième siècle sous toutes ses déclinaisons (jeu de rôle, jeu vidéo, livre dont vous êtes le héros, jeu de société) 2) à partir des années 70, il y a eu interpénétration de l’influence de la SF sur le jeu et de sa réciproque ; c’est particulièrement vrai avec le jeu vidéo ; le jeu est donc sans doute l’un des plus puissants vecteurs de l’esthétique SF/fantasy/fantastique à l’heure actuelle 3) le jeu est art : il y a des auteurs, des éditeurs, des courants esthétiques, et un public : les jeux sont des oeuvres de l’esprit au même titre que la littérature

– Une petite histoire du jeu (Nicolas Lozzi) : article
– Le jeu dans le cinéma de SF (Raphaël Colson) : article
– L’édition de jeux de rôle : interview de Philippe Ros
– Histoire des jeux vidéo : article (Julien Annart)
– Fiction sur le jeu de go (Paul Drouot)
– Article (encore indéterminé) de Jean-Philippe Jaworski
– Le jeu vidéo, forme d’art émergeante, et son analyse politique (Sébastien Genvo) : article
– Le passage du jeu de rôle à l’écriture (Fabrice Colin) : docu-fiction
– Les jeux à réalité alternée (Rémi Sussan) : article

– Bibliographie (toute notice bibliographique est bienvenue)

Ainsi que sous caution :

– Article de David Calvo
– Article d’Alain Damasio
– L’édition de jeux vidéos (Lexis Numérique) : interview
– Faire jouer : interview (association de joueurs lyonnais)

#1572

Hier Daylon me demandait « Toujours sur le pont ? C’est quand même assez étrange de ne pas te voir bloguer ». C’est vrai. Mais pas l’envie, désolé, j’avais prévenu: période de post-épuisement suite à trop plein de boulot, donc de repos, de tranquille réflexion, de lecture… Ce qui n’empêche pas de bosser pour les Moutons électriques, bien entendu (bouclage du neuvième Fiction). Le même jour, un amusant message de François Angelier de France Culture: « Bravo, cher ami, ce n’est pas un programme, c’est une offensive et un manifeste. »

#1571

Les dieux créent les odeurs; les hommes fabriquent du parfum. Nus et faibles, ils ne peuvent survivre qu’avec des machineries (des machinations). Le parfum, c’est l’odeur plus l’homme. Jean Giono.