Le tout premier titre des Moutons électriques était le Panorama illustré de la fantasy & du merveilleux, aujourd’hui presque épuisé. La préparation d’une réédition de ce volume va constituer un travail de longue haleine, que nous venons d’entamer officiellement. Olivier Davenas (coordinateur de l’ouvrage) vient de demander un article à un artiste que nous admirons beaucoup, et je viens de proposer à une amie universitaire spécialiste du conte d’en rédiger un autre. À suivre.
Archives mensuelles : novembre 2009
#1741
Merveilleux. J’ai mis en carton des bouquins, ayant effectué un tri longtemps repoussé, histoire d’un peu préparer le futur déménagement de la bibliothèque. Bien. Prêt à descendre ça à la cave… La clef, où est la clef? God damn it: la clef a disparu, la petite chatte s’en est à coup sûr emparée, a joué avec. Et maintenant, où retrouver la clef? Argh. Super. Et en la cherchant, je trouve quoi? Une petite fuite insidieuse du lave-linge. Super (bis). This appartment is falling apart.
(Clef retrouvée le lendemain matin: pile sur le coussin où la petite chatte noire aime dormir.)
#1740
Uchronisme…
#1739
Re-ouch: les travaux vont être nettement plus importants que je ne le pensais. Une seule (petite) pièce va y échapper. Ça va être bô, mais bonjour les déménagements de bouquins…
#1738
Cela ne concerne jamais qu’un verre d’eau, bien sûr, mais la tempête qui en agite la surface ces derniers jours m’interpelle, me parle. L’autre week-end, au salon de Lambesc, je constatais avec intérêt que d’aucuns se définissaient comme « écrivain de science-fiction » quand d’autres se pensaient tout simplement « écrivain ». Et voici que Fabrice Colin vient justement de s’exprimer sur ces questions d’identité de genre (« À l’occasion, il faut quitter pour exister, se jeter à l’eau pour comprendre qu’on sait nager. Sans la SF, je ne serais pas là aujourd’hui. Avec la SF, je n’irai jamais très loin ailleurs », dit-il en conclusion), accompagné par Daylon (« Ce n’est pas tant la fin de l’underground science-fictif que sa mise en réseau avec une constellation d’autres milieux insulaires. Tous ces petits laboratoires que nous avons cru à jamais invisibles les uns aux autres », dit-il en conclusion) et par Systar.
Rien à voir, mais faisant également un usage judicieux des petites cellule grises, une conférence d’Ugo Bellagamba sur le space opera.